samedi 30 janvier 2016

Têt : Le Têt chez les Tày

Les Tày fêtent aussi le Nouvel an lunaire. Ces jours-ci, on peut sentir l’ambiance festive dans les hameaux du district de Van Lang, rattaché à la province de Lang Son, où l’on attend avec impatience l’arrivée des troupes de danse du lion lors du jour de l’An lunaire.

Avec le Têt, les Tày de la commune de Thanh Hoà se réjouissent des plus longues vacances de l’année. Les costumes traditionnels sont sortis de l’armoire, car effectivement les Tày aiment s’habiller coquettement avant de rendre visite à leurs proches et leurs voisins.

Mais ils ne sortent pas avant midi, puisque c’est le moment où les troupes de danse de lion franchissent leurs portes pour apporter la chance. Luân Van Son fait partie de l’équipe de la commune de Thanh Hoà.
"La danse du lion est incontournable lors du Nouvel an lunaire. Elle est censée apporter la chance et la richesse. Personne ne refuse les danseurs de lion. Après leur spectacle, ces derniers sont conviés à prendre un verre ensemble avec la famille"

Trois instruments accompagnent la danse du lion : un large tambour, des cymbales et un gong. Chaque type de mouvement du lion possède un rythme musical particulier, et la musique suit les mouvements du lion.


La tête du lion est constituée de matériaux solides mais légers comme du papier mâché et du bambou. Elle est portée par deux personnes, l’une plus grande et l’autre plus petite. D’autres animent le corps et la queue sous un costume relié à la tête du lion.

Le corps du lion diffère une région à l’autre. Dans le district de Van Lang, les habitants assemblent des bandes de tissu en une grande pièce de cinq couleurs.
Selon Dinh Khoa, un habitant de la commune de Thanh Hoà, cette danse est très prisée pour son caractère sportif, mettant en valeur l’esprit martial des montagnards.

"On commence la danse du lion à partir du 27 du dernier mois lunaire jusqu’à la première pleine lune de l’année suivante. J’ai appris cette danse quand j’étais tout petit, à 7-8 ans seulement. La danse du lion est destinée à faire fuir les mauvais esprits et apporter bonheur et prospérité pour l’année à venir"


La danse du lion réunit à la fois l’art, le spectacle, la tradition, mais aussi la démonstration des arts martiaux. D’ailleurs, la quasi-totalité des danseurs sont des pratiquants des arts martiaux. Ils doivent être à la fois solides et souples pour imiter des mouvements de l’animal sacré.

Une équipe de danse rassemble de 7 à 8 membres qui prennent relais des porteurs de tête. Mais il existe parfois des personnages secondaires. Luong Quoc Trich, chef du hameau de Ban Mi, rattaché à la commune de Thanh Hoà : "Le lion offre de meilleures choses en emportant les malchances de l’année passée. C’est pourquoi les danseurs sont chaleureusement accueillis par les propriétaires"

Une ambiance festive et joyeuse règne dans tous les recoins de la commune de Thanh Hoà où les fleurs de pêchers éclosent.

A l’intérieur, devant l’autel des ancêtres, les Tày ont déposé un plateau rempli de nourriture pour offrir aux prédécesseurs qui reviennent en ce monde pour fêter le Têt.

Voilà, le moment du Têt, du sourire et du bonheur....

Source : VOV



mercredi 27 janvier 2016

Gastronomie : Palourdes sautées à la vietnamienne

Ingrédients

•500 grammes de palourdes
•Quelques gousses d’ail
•Menthe aquatique
•Ciboule
•Huile végétale
•Dâu hào (sauce d’huîtres)
•Xi dâu (sauce de soja)
•Épices
•Sel
•Gingembre
•Piment


Préparations et conseils

•Mettre un peu de sel dans l’eau puis laissez tremper les palourdes dans cette eau pendant 15 minutes pour que les palourdes soient débarrassées de leurs impuretés. Rincer les palourdes sous l’eau.

•Peler les gousses d’ail, gingembre et les couper.

•Rincer la menthe aquatique, la ciboule et les couper en pièce.

•Allumer le feu. Mettre un peu d’huile dans la casserole. Ajouter ciboule, gousses d’ail, gingembre et piments. Mélanger le tout. Mettre les palourdes dans la casserole et mélanger tous les ingrédients.

Ajoutez une cuillerée de dâu hào, une cuillerée de saumure de soja, une cuillerée d’épices et un peu de sel. Mélanger. Mettre la menthe aquatique et éteindre le feu.

Bon appétit !!


Source : CVN



dimanche 24 janvier 2016

Culture : La mode vestimentaire des Lu

L’ethnie minoritaire Lu habite les districts de Phong Tho et Sin Ho de la province de Lai Chau. Parmi leurs métiers traditionnels, le plus répandu est le tissage.
C’est un métier où excelle les femmes; aussi leur mode vestimentaire est-elle compliquée et riche en motifs décoratifs brodés sur un fond indigo foncé.

Le costume féminin des Lu se compose d’un turban, d’une veste, d’une jupe et d’une ceinture. Comme le tissage est un métier familial très pratiqué, les femmes Lu s’habillent avec beaucoup de recherche et d’originalité.
Leur turban en coton indigo foncé est doté aux bouts de rayures blanches et jaunes de largeurs différentes. Il est plié en quatre suivant la longueur, enroulé plusieurs fois autour de la tête et penché vers le côté gauche.

L’élément le plus impressionnant dans le costume féminin des Lu est la veste. Elle est formée de quatre pans assemblés, issus de six pièces d’étoffe taillées en forme d’éventails, ce qui rend la veste très évasée au niveau de la taille et donne à la femme Lu plus de charme et plus de liberté dans ses mouvements.

Le col châle retombe sur la poitrine et fait partie des pans de devant. Il est fait de cinq bandes d’étoffe assemblées, aux couleurs vives, tissées de motifs décoratifs ou cousues avec de petits morceaux d’étoffe bariolée. Notons la bande du milieu, cousue de décors en forme de losanges rouges, bleus...

Femmes Lu les jours de fête

Turbans aux multiples motifs décoratifs

Jolis petits sacs en brocart, que les jeunes Lu portent en permanence

Costumes originaux des jeunes Lu et leurs colliers en argent

Costume traditionnel des Lu aux fêtes villageoises

Femmes Lu à une fête villageoise

Tenue vestimentaire des Lu les jours de travail

Un autre détail impressionnant sur la veste est les bandes qui entourent la taille des Lu, aux motifs décoratifs cousus, soulignant leur sveltesse. Elles méritent bien le surnom de "rivières qui ondulent". Au-dessous de ces bandes s’alignent des triangles brodés de riches couleurs.

Deux longues bandes d’étoffe à fleurs pendent des deux côtés de la veste et retombent à hauteur des jambes; notons la bande du côté droit ornée de fils multicolores en laine et de perles en verrerie.
Quand elles enfilent leurs vestes, les Lu croisent le pan de gauche sur celui de droite et nouent les deux bandes qui se balancent à chacun de leurs pas.

Selon la conception des Lu, les femmes doivent s’habiller avec moins de recherche quand elles travaillent. Aussi au quotidien portent-elles deux ou trois jupes enfilées les unes sur les autres de manière à donner l’impression qu’elles sont étagées.

La jupe, longue et droite, est assemblée par trois pièces d’étoffe: l’ourlet supérieur, en coton teint en brun est libre de tout ornement. Le corps de la jupe, en soie, est tissé sur un métier réservé pour les tissages compliqués.

C’est à cette étape que la femme Lu prouve son adresse en tissant des motifs décoratifs qui répondent au goût de chacun des membres de la famille.
La moitié du corps de la jupe jointe à l’ourlet supérieur est en soie teinte en brun foncé, ornée de rayures latérales rouges et jaunes. L’autre moitié jointe à l’ourlet inférieur est aussi en soie tissée de motifs décoratifs et dotée en plus de broderies en laine.

A côté de leurs costumes, les femmes Lu n’oublient pas les parures: des colliers en argent aux extrémités recourbées de manière à former des "feuilles triangulaire" où sont gravées des guirlandes de fleurs.

La vie des Lu est encore difficile mais ceux-ci sont résolus à garder leur identité culturelle. Leur costume féminin fait leur fierté et est un symbole de leur culture, une culture belle, originale qu’il est indispensable de préserver et de valoriser.


Source : VNP



jeudi 21 janvier 2016

Reportage photo : Le Vietnam dans mon coeur

"Le Vietnam dans mon cœur" est le regard croisé de trois artistes, les photographes Nguyễn Việt Thanh et Hoàng Hải Thịnh et le peintre Đặng Phương Việt, sur la beauté de leur pays. L’exposition sera ouverte le lundi 11 janvier 2016 à Pékin, en Chine.

"Ces photos et peintures sont autant de pièces constituant un grand portrait, celui d’un Vietnam pacifique et hospitalier avec des habitants simples, dynamiques, amoureux de la vie", estime l’ambassadeur vietnamien en Chine, Đặng Minh Khôi.

Si Việt Thanh s’amuse à immortaliser les beaux instants de la vie quotidienne, Hải Thịnh s’intéresse autant aux paysages qu’aux personnages et surtout à la diversité de la culture vietnamienne.
Quant au peintre Đặng Phương Việt, cela fait une vingtaine d’année qu’il se consacre à la peinture sur l’huile des lotus. "Je peins les lotus pour éveiller les sentiments des uns et des autres", dit-il.














A l’occasion de leur exposition à Pékin, Nguyễn Việt Thanh, Hoàng Hải Thịnh et Đặng Phương Việt ont publié le livre photos "Le Vietnam dans mon coeur" pour partager avec le public leurs découvertes sur la beauté naturelle et culturelle de leur propre pays.
Cette exposition s’inscrit dans le cadre des rencontres culturelles Vietnam-Chine de janvier 2016.


Source: VOV



mardi 19 janvier 2016

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samedi 16 janvier 2016

Arts : Bach Vân, une figure du Ca trù (chant des courtisanes)

Bach Vân, une des fameuses chanteuses du Ca trù de Thang Long (Hanoi actuelle), a passé près de 30 ans et même sacrifié son bonheur privé pour la relance du Ca trù ("chant des courtisanes"), reconnu patrimoine culturel immatériel de l’humanité par l'UNESCO.

Une soirée, nous sommes venus dans l'ancienne maison communale de Kim Ngân, 42-44 rue Hàng Bac, à Hanoi, où se tenait un spectacle de Ca trù organisé par le Club de Ca Trù de Hanoi.
Une chanteuse au visage triste portant une robe de velours était assise sur une natte au milieu de la salle. Elle jouait avec passion du phach (sorte de castagnettes de bambou) et chantait des paroles mélodieuses.
Bien qu’âgée d'environ 50 ans, sa voix était parfaite. A côté d'elle se trouvait un accompagnateur et un percussionniste, qui aident à garder le rythme du chant.

Plus la soirée avançait, plus la voix de la chanteuse était enivrante. Les douces et délicates mélodies, les sons de l’instrument day et du tambour châu recréaient la véritable essence du Ca trù et rappelait l'image d'un spectacle à la cour royale d’antan.

Bach Vân est attachée au Ca trù depuis près de 30 ans. Né en 1957 dans une famille confucianiste du village de Thanh Chuong, province de Nghê An, elle a appris très tôt à réciter des poèmes Tang par son père et à chanter des chansons folkloriques du pays de Nghe An par sa mère.

L’Artiste émérite Bach Vân, qui a consacré 30 ans de sa vie au Ca trù. 

Depuis d’une trentaine d’années, Bach Vân se produit dans la maison communale Kim Ngân, dans le vieux quartier de Hanoi.

Plus de la moitié de sa vie, elle a sacrifié son bonheur personnel à sa passion, le Ca trù.

Toute son âme est dédiée au Ca trù.

Bach Vân lors du spectacle fêtant la cérémonie inaugurale du film "Sô do" (un sort chanceux) qui dépeint le mode de vie citadin au Vietnam dans les années 1930.

Échanges entre Bach Vân et des spectateurs étrangers à la maison communale Kim Ngân.

Elle enseigne aussi son art aux enfants.

Bach Vân a commencé à chanter le Ca trù dans les années 1980 et depuis, sa vie est attachée à cet art vocal. A ses débuts, Bach Van a été confrontée à d'énormes difficultés qui, cependant, ne l’ont pas découragée.
Elle a recherché des documents anciens et appris les techniques de chant auprès d’artistes chevronnés de Hanoi, Hai Duong et Hà Tinh. Et ses nombreux efforts ont été récompensés. Ses professeurs ont été Quach Thi Hô, Nguyên Thi Phuc, Chu Van Du et Pho Thi Kim Duc.

Elle est à l’initiative de la création du club de Ca Trù de Hanoi avec l’espoir de dynamiser ce chant. En 1991, le club a été officiellement créé avec près de 200 membres, devenant ainsi le premier du genre au Vietnam. Depuis, Bach Vân a fait de grands efforts pour le développer.
Elle a même payé de sa poche des spectacles gratuits et elle a invité des artistes. Pour assurer la relève, Bach Vân a ouvert des cours pour les jeunes et a aidé le Département des Arts du spectacles, relevant du ministère de la Culture, des Sports et du Tourisme, à organiser des festival et colloques sur le Ca trù.

Surtout, elle a réalisé et recueilli des documents pour aider le Département du Patrimoine culturel à compléter le dossier du Ca trù afin de le soumettre à l'UNESCO qui a reconnu officiellement en 2009 cette forme de chant traditionnel comme un patrimoine culturel immatériel nécessitant une sauvegarde d’urgence.


Source : VNP



jeudi 14 janvier 2016

Gastronomie : Bò kho sả , boeuf a la citronnelle



Pour 4 personnes

Ingrédients

Pour préparer le Bò kho sả il vous faudra de la viande rouge de boeuf, tendre, de la citronnelle, sauce poisson (Nuoc Mam) et du curcuma. Des piments


Préparation et conseils

Bò kho sả est une spécialité vietnamienne, ce sont de fins morceaux de boeuf cuisinés avec de la citronnelle hachée, du curcuma, des petits piments forts et un peu de sauce poisson. IL s'agit d'une recette très facile
Emincer en de fines tranches votre boeuf puis hacher finement la citronnelle. Dans un récipient mélanger votre viande avec de la sauce poisson et le curcuma, pour 4 personnes 2 cuillères à soupe de sauce poisson et 1 cuillère à soupe de curcuma.
Réservez au frigo une bonne heure. Pourquoi attendre avant de cuisiner le boeuf ? Tout simplement, la sauce poisson va attendrir la viande et le curcuma va la parfumer.


Cuisson

Dans un wok ou une sauteuse, huiler le fond et faites revenir la citronnelle hachée. Puis ajoutez le boeuf et si vous aimez le cote pimenté vous pouvez ajouter 2 piments forts. Laissez cuire 3 ou 5 bonnes minutes ( selon la façon dont vous aimez la viande rouge) en remuant de temps en temps.
Se mange avec du riz blanc


Source : Cap-Vietnam



lundi 11 janvier 2016

Culture : Les Mông

Rendons visite aux Mông qui sont les plus nombreux parmi les ethnies minoritaires au Vietnam.
Ils vivent dans les régions montagneuses du Nord, dans la partie septentrionale du Centre et sur les Hauts Plateaux du Tây Nguyên.

Les Mong jouent du khèn, une sorte de flûte de pan

Il existe plusieurs groupuscules de Mông. Il y a les Mông blancs, les Mông noirs, les Mông verts, les Mông rouges, mais aussi les Mông bariolés, les Mông Man ou encore les Na Mèo.

Ils se diffèrent par leurs vêtements et leurs dialectes. Par exemple, les Mông blancs s’habillent principalement de couleurs claires tandis que les Mông noirs préfèrent les couleurs plus sombres.
Chez les Mông, il existe de très nombreux dialectes n’ayant probablement pas encore été répertoriés.

Les filles Mong noirs

Les Mông sont également appelés les Miao, ce qui signifie "riz cru" et désigne les populations nomades peu intégrées. Les Mông eux-mêmes utilisent la dénomination de "montagnards".

Vivant en altitude, ils sont capables de transformer des collines entières en rizières en terrasses au prix d’un travail extraordinaire de courage. Tran Thu Thuy, du musée d’ethnographie du Vietnam: "Les premiers Mông ont émigré au Vietnam il y a 300-500 ans. En ces temps, les Kinh habitaient dans les deltas tandis que les Tày et Thaï occupaient les vallées. Les Mông n’eurent dont pas d’autre choix que de s’installer à la montagne.
Ils ont défriché les terres sauvages pour travailler la terre. Au fur et à mesure, ils ont appris la technique de la riziculture inondée et ont finalement créé des rizières en terrasse. Les Mông sont capables de s’adapter très vite à toutes les conditions de vie."

Les jeunes filles du groupe Mong bariolés

Cette ethnie, présente un peu partout dans le pays, se regroupe en communauté dans chaque district où elle habite. Les Mông choisissent scrupuleusement le lieu où ils décident de vivre car celui-ci doit convenir aux ancêtres.
Leurs logements sont rudimentaires, construits en matériaux d’origine végétale (bois, bambou, chaume), le sol est en terre battue, constituée d’une pièce principale.
Il n’y a ni fenêtre, ni cheminée, ni cloison intérieure. Les 2 côtés servent de cuisine et de chambre à coucher.
La séparation des chambres se fait tout simplement à l’aide de grands tissus. L’autel des ancêtres fait partie de la maison, c’est d’ailleurs le lieu le plus beau et le plus solennel de la pièce centrale de la maison.

Leur maison traditionnelle

Pour eux, la maison a une âme! Et les différents génies intérieurs, génie de la porte, de la colonne, de la cuisine les protègent contre tout malheur.
Quand ils sortent de la maison, ils se pensent menacés par des âmes maléfiques. C’est pourquoi, ils portent un talisman sur eux, persuadés que cet objet magique chassera les fantômes.

Les Mông sont de type patriarcal. Les hommes jouent un rôle majeur et suprême dans la famille et héritent des biens de leurs parents. Les femmes n’emportent que leurs bijoux en argent et leurs habits le jour de leur mariage.

Les jeunes filles Mong rouges

La tradition veut que les Mông épousent les proches de leur propre lignée. Ils sont convaincus qu’une nombreuse progéniture leur apportera prestige et main d’œuvre. C’est pourquoi, chaque couple Mông met au monde beaucoup d’enfants. Le fils cadet aura le devoir de s’occuper de ses parents et de pratiquer le culte des ancêtres.

Chaque lignée a un chef de famille qui  doit connaître parfaitement les us et les règles de sa lignée, lesquelles sont indiscutables.

Trân Thu Thuy: "Chez les Mong d’une même lignée, on doit vivre et mourir dans sa maison.
Exception faite pour les femmes, qui sont autorisées à quitter leur maison pour entrer dans la nouvelle famille. Les membres d’une même lignée se reconnaissent aussi grâce à la disposition de l’autel des ancêtres"

Très attachés à leur liberté et fidèles à leur mode de vie ancestral, les Mong cohabitent paisiblement dans une atmosphère sereine et laborieuse.


Source :VOV



vendredi 8 janvier 2016

Reportage : Les merveilles de la nature - La baie d'Halong

Bonjour TLM,

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mardi 5 janvier 2016

Vidéo que j'aime

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vendredi 1 janvier 2016

Vœux 2016