samedi 30 juillet 2016

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dimanche 19 juin 2016

Arts : Histoire de la musique du Vieux quartier de Hanoï

Tous les mois, le soir du 2e vendredi de la semaine, au Centre d’échange de la culture du Vieux quartier de Hanoï (50, rue Dào Duy Tu), a lieu le programme "Histoire de la musique du Vieux quartier de Hanoï". Ce programme se compose de spectacles de musique classique et contemporaine de la capitale Thang Long – Hanoï.

Ce programme a été organisé selon l’initiative de l’artiste Vu Nhât Tân et le groupe Dông Kinh cô nhac sous l’égide du Centre d’échange culturel du Vieux quartier de Hanoï.
Afin de préserver des valeurs culturelles et artistiques, des spectacles de Chèo (Chant populaire), Xẩm (Chant des aveugles), Ca Trù (Chant des courtisanes),…sont interprétés de manière simple et traditionnelle.

Des artistes du groupe Dông Kinh cô nhac interprètent des spectacles comme : ca trù, chèo, xẩm …

Artiste émérite Manh Phong joue le rôle du clown Chèo.

L’Artiste Thuy Ngân joue le rôle du personnage Xuy Vân dans l’extrait de Chèo "Xúy Vân giả dại".

Le groupe Dông Kinh cô nhac offre aux spectateurs des spectacles extraordinaires.

Un spectacle du Ca trù.

Des artistes interprétant un numéro de Chèo.

L’Artiste du Peuple Minh Gai joue dans l’extrait de Tuồng "Nguyệt Cô hóa cáo".

La danse des éventails au rythme du chant des courtisanes.

L’Artiste émérite Vu Ngoc jouant du tambour lors d’un numéro de Chèo.

Un touriste essayant d’utiliser des instruments musicaux de Chèo.

Ce programme est interprété par le groupe Dông Kinh cô nhac dont les membres sont des artistes de musique traditionnelle : artiste du Peuple Xuân Hoach (joueur de "đàn đáy" - luth à trois cordes à long manche, de "đàn nguyệt" - luth en forme de lune, de "đàn hồ" - luth), artiste du Peuple Thanh Hoài (chanteur de "chèo"), artiste émérite Thanh Binh (chanteur de "chèo", "ca trù"), artiste émérite Vu Ngoc (joueur d’instruments à percussion)….

Participant à ce programme, les spectateurs ont l’occasion de découvrir l’histoire de la musique traditionnelle du Vietnam car l’animateur leur donne une présentation brève et précise sur son contenu avant chaque numéro de spectacle. 

"A travers ce programme, nous souhaitons préserver et valoriser la musique traditionnelle du pays", se confie l’artiste Vu Nhât Tân.


Source : VNP




samedi 11 juin 2016

Gastronomie : Pot au feu aux fruits de mer (Lẩu hải sản)

Le pot au feu (en vietnamien, c’est “Lẩu”) est un plat typique vietnamien qui se caractérise par sa générosité. C’est aussi un plat excellent pour les rencontres familiales ou une soirée chaleureuse entre amis.
Pour déguster ce plat, vous mettez ce que vous voulez dans un bouillon épicé et bouillant pour y cuire la viande, des fruits de mer, des légumes, des vermicelles de riz, etc… Bien sûr, le bouillon sera préparé à l’avance.

Voici la recette du pot au feu aux fruits de mer (lẩu hải sản)



Pour 6-8 portions  Préparation : 30 minutes  Cuisson : 20 minutes

Ingrédients :

1,5 litres de bouillon
100 g de boulettes de poisson
200 g de filet de poisson, coupé en tranches fines
300 g de crevettes fraîche
200 g de seiches, vidées et pelées
1 kg de coques blanches
200 g de champignons de paille
2 cuillères à soupe de citronnelle, hachée (ou poudre de citronnelle)
2 cuillères à soupe de tamarin, sans noyaux
3 cuillères à café d’assaisonnement déshydraté (selon votre goût)
½ cuillère à café de sel
1 cuillère à café d’ail hachée
2 cuillères à soupe d’huile
1 cuillère à soupe de sucre
2 tomates coupées en huit
1 piment, haché finement
200 g de branche de chrysanthème comestible, lavée, coupé en morceaux de 5 cm
200 g de liserons d’eau, lavés, débarrassés des mauvaises parties et des feuilles, la tige restante coupée en tranches de 8 cm
1 kg de pâtes de riz ronde
2 cuillères à soupe de sauce de saumure de poisson

Réalisation :

1. Lavez bien les seiches. Avec un couteau pointu tracez des losanges sur les morceaux de seiches, puis coupez-les en morceaux de 6 cm de longueur et 4 cm de largeur. Passez les boulettes de poisson à l’eau bouillante.

2. Lavez les champignons de paille et enlevez les mauvaises parties, trempez-les ensuite dans l’eau salée durant 20 minutes, puis laissez-les égoutter. Coupez les gros champignons en deux. Lavez et coupez les pieds de champignons en tiges.

3. Écrasez le tamarin dans une tasse d’eau bouillante pour recueillir son jus brun

4. Faites chauffer 2 cuillères à soupe d’huile dans une poêle, ajoutez-y l’ail et la citronnelle, déjà hachée. Faites sauter l’ail et la citronnelle, puis ajoutez-y les tomates. Assaisonnez avec ½ cuillère à café d’assaisonnement déshydraté ou ½  cuillère à café de sel, selon votre goût. Faites dorer le tout.

5. Amenez le bouillon à é ébullition, ajoutez-y le jus de tamarin et les champignons de paille. Assaisonnez avec l’assaisonnement déshydraté, sel et sucre. Ajoutez ensuite, les tomates, l’ail et la citronnelle. Ajoutez-y du piment, selon votre goût. Assaisonnez encore une fois.

6. Décorez le plateau de la marmite pour pot au feu avec les crevettes, les boulettes de poisson, les filets de poisson et les coques blanches.

7. Mettez les champignons en tiges, les herbes, et les légumes sur une grande assiette.

8. Versez le bouillon dans la marmite pour pot au feu, placez-la sur le réchaud. Mettez l’assiette de légumes sur la table. Dès que le bouillon arrive à ébullition, ajoutez-y lentement les ingrédients pour les cuire sur la table.

9. Servez les pâtes de riz rondes et la sauce de saumure de poisson comme accompagnement.
Si vous n’avez pas les pâtes de riz rondes, vous pouvez les remplacer par les pâtes de blé. Trempez les pâtes de blé dans l’eau bouillante salée, portez-les à ébullition durant 2 minutes.

Retirez du feu, versez les pâtes dans une passoire, laissez égoutter, et mélangez-y une cuillère à soupe d’huile, pour que les pâtes ne se collent pas. Vous pouvez choisir vous-même les légumes comme accompagnement.

Source : Les Délicieuses recettes du Vietnam

Bon appétit !!




samedi 4 juin 2016

Culture : Le Xoè, danse des Thaï de la région Nord-Ouest

Il y a dix siècles, la danse Xoè était une danse populaire exécutée à l'occasion de l’installation des hameaux et des villages ou pendant les fêtes de l'ethnie Thaï. Maintenant, elle s’est développée en 36 danses et est devenue le symbole de la solidarité entre les groupes ethniques du Nord-Ouest.

Muong Xo, pays de la danse Xoè de l'ethnie Thaï
Selon la légende du peuple Thaï, au 10e siècle, Lac Truong, chef de la région de Muong Lo (en province de Yên Bai aujourd'hui), a conduit les villageois dans la région de Muong So (district de Phong Thô, province de Laï Châu aujourd'hui) pour récupérer des terres pour l'agriculture et la construction de hameaux. C'était l'endroit d’origine de la danse Xoè du peuple Thaï du Nord-Ouest.

Initialement, la danse Xoè était interprétée par les garçons et les filles qui se tenaient la main pour former une ronde et dansaient ensemble, au son des luths de courge, des tambours, des violes à deux cordes, des gongs et cymbales.




Selon les Thaï, avant un festival de Xoè, un mât doit être installé. Il est considéré comme une échelle vers le ciel. Cela s’accompagne de sacrifices aux dieux et ancêtres pour les inviter à participer.

La danse Xoè pour accueillir les dieux.

Avant la victoire de Diên Biên Phu (1954), l'ensemble de la zone Muong So a été habité par le peuple Thaï et gouverné par le roi Dèo Van Ân, un natif Thaï. Il aimait beaucoup la danse Xoè. On comptait à Muong So des centaines d'équipes de danseuses et les festivals de Xoè avaient lieu tout au long de l’année.

Pendant ces festivals, les garçons et les filles se rassemblaient sur les rives de la rivière Nâm Na, entamaient la conversation, dansaient le Xoè et buvaient ensemble de l’alcool de maïs. Sous la lueur du feu vacillant, leur chant et les sons mélodieux des luths de courge créaient une nuit de danse fascinante.

Dans les premières années du 20e siècle, à partir d’une danse populaire, le Xoè est devenu "une danse de cour" pour les chefs de la région Nord-Ouest. Selon l’artisane Lo Thi Phe, 89 ans, qui est la dernière danseuse de la troupe Xoè du roi Dèo Van Ân, avant la libération de la province de Diên Biên, la troupe Xoè de Muong So a effectué des performances à Paris, qui ont eu un certain succès.

Elle a également déclaré : "Les dieux et les ancêtres de notre ethnie Thaï vivent dans le ciel. Donc, avant un festival de Xoè, nous avons le rituel de planter un mât Nêu et chanter pour les inviter à rejoindre les villageois".

Quand nous sommes arrivés au hameau, Mme Phe a activement entraîné l’équipe Xoè de Muong So, qui se préparait à aller dans la province du Yunnan (Chine) pour un échange de danse.

Aujourd'hui, le Xoè se développe et est devenu le "bien" commun des groupes ethniques du Nord-Ouest. Il est devenu un symbole de la solidarité entre les groupes ethniques du Nord-Ouest. Des festivals sont organisés chaque année dans les provinces de Lai Châu, Diên Biên, Son La, Hoà Binh et Yên Bai…

Party Xoè au pays Muong
Selon Mme Dô Thi Tâc, une spécialiste du folklore dans la province de Lai Châu, la danse Xoè avec gongs est le plus grand festival printanier de la communauté Thaï du Nord-Ouest et de Muong Than en particulier.
Les Thaï organisent ce festival pour prier pour une bonne météo, des récoltes abondantes et un village paisible et heureuse. Le festival est si célèbre qu'il est considéré comme une "party Xoè", car il a beaucoup de danses fascinantes, des plats copieux.

La jupe com, costume traditionnel féminin de l’ethnie Thaï.

A l'origine, la danse Xoè est une danse que les villageois dansaient en cercle en se tenant les mains, au rythme de deux pas en avant et d’un en arrière.

Danse Xoè aux fleurs de Bauhinia.

Dans le Nord-Ouest aujourd'hui, il y a quatre zones habitées par la population Thaï : Muong Thanh (province de Diên Biên), Muong Lo (province de Yên Bai), Muong Than (province de Lai Châu) et Muong Tac (province de Son La). Ces zones ont les équipes de Xoè les plus renommées du Nord-Ouest.

A Muong Than (province de Laï Châu) au printemps, la saison des festivals du peuple Thaï attirent les touristes. Le festival de danse Xoè avec gongs commence par la mélodie des luths de courge se mêlant avec le rire des garçons et des filles qui viennent de différents hameaux.

Le son des gongs et des tambours invitent les visiteurs à se joindre à la fête. Toutes les personnes, qu’ils soient Thaï, H’mông et Dzao, se tiennent la main pour former des rondes et danser en rythme.

Les visiteurs peuvent voir les 36 danses anciennes réalisées par les filles de Muong Than. Il s'agit notamment de la danse avec des fleurs, anneaux, chapeaux coniques, éventails ou foulards.

Aujourd'hui, le peuple Thaï à Mai Châu (province de Hoà Binh) a également établi des équipes de Xoè pour les touristes. Par exemple, dans les hameaux Lac et Pom Coong il y en a près de 10.

Vi Thi Tuyêt, membre d'un ensemble Xoè du hameau de Lac, a déclaré: "Pour nous, les Thaï, nous n'avons pas besoin d'apprendre la danse Xoè parce qu’automatiquement, nous pouvons la danser". Puis elle a chanté une chanson populaire Thaï : "Sans la danse Xoè, nous ne sommes pas heureux, sans le Xoè, le riz ne pousse pas, sans le Xoè, les garçons et les filles ne deviennent pas des couples.... "





Les instruments utilisés dans le Xoè comprennent tambours, gongs, petites cloches, bâtons de bambou, cymbales et notamment luth Tinh tâu dont les sons battent la mesure, gardent le rythme mais aussi poussent, invitent les habitants des hameaux proches et éloignés à participer. 

Danse Xoè aux éventails. 

Les Thaï brûlent généralement un feu une partie de la nuit.


Source : VNP






samedi 28 mai 2016

samedi 21 mai 2016

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samedi 14 mai 2016

Nature : Hanoï, la saison des feuilles mortes

Fin avril, début mai, c’est la saison des feuilles mortes dans les rues de Hanoï. Partout, on voit le jaune des feuilles mortes, annonçant l’arrivée de l’été.

La chaussée et les trottoirs sont envahis par les feuilles mortes.

Un vent léger emporte les feuilles jaunes.

Des feuilles mortes de pancoviers sur les trottoirs de la rue Trân Hung Dao.

La beauté exceptionnelle de la capitale millénaire du Vietnam.


Hanoï semble plus tranquille à la saison des feuilles mortes.

Des feuilles sont tombées sur un mur avant d’être emportées par le vent.


Des marchandes ambulantes piétinent les feuilles mortes.

Un vendeur de thé chaud à côté de feuilles mortes.

Des habitants de la capitale à la saison des feuilles mortes.

Des enfants s’amusent sur un tapis de feuilles mortes.

Les bourgeons ont commencé à pousser.


Source : VOV




samedi 7 mai 2016

Gastronomie : Le "Cafe Sua Da"



Le Vietnam est connu pour le 2e exportateur mondial de café !

Pourtant, les vietnamiens ne le consomment pas les expressos, lattes… ils ont une recette de café spéciale. Ils boivent souvent la café noir, le café au lait "café sua da" . Le "Cafe Sua Da" est vraiment une recette très appréciée par les étrangers lors de leurs séjours au Vietnam.

Avec une cafetière spéciale pour filtrer le café et les bons ingrédients provenants du Vietnam, vous pouvez tout à fait préparer par vous – même un café sua da vietnamien.

Une fois équipé, le processus  très simple. Mais avant tout, voici la liste des ingrédients :
– Un filtre à café
– Lait concentré
– Café moulu vietnamien
– L’eau
– Glace pilée (ou glaçon)


Préparation :

– Mettez 1 ou plusieurs cuillères à soupe de lait concentré selon vos goûts dans cette tasse
– Préparez une petite tasse filtrante en déposant le café moulu dans ce filtre. Faites bouillir de l’eau. Par-dessus, remplissez avec un peu d’eau chaude et fermez votre petite tasse avec son couvercle.
Laissez passer le café. Vous trouvez donc deux couleurs : la crème du lait concentré et le noir de votre café. Soyez patient, ça s’écoule doucement. Un conseil : par contre n’abusez pas avec la dose de café.
– Lorsque le café à fini de s’écouler, mélangez le tout activement à l’aide d’une cuillère. Vous pouvez déguster ce café chaud ou ajouter des glaçons selon vos souhaits.



Source : Platvietnam




dimanche 1 mai 2016

Culture : Le village de vannerie de Thai My

Le village de Thai My dans le district de Cu Chi, Hô Chi Minh-Ville, est célèbre dans tout le pays pour ses produits en bambou et rotin, appréciés sur le marché intérieur et aussi exportés vers certains pays étrangers.

Selon l’artisane Cao Thi Cu, 86 ans, du hameau de Binh Thuong 2, ce métier existe dans le village depuis plus de 100 ans et s’est transmis de génération en génération. Pendant des années, chaque hameau du village s'est spécialisé dans la fabrication d'un seul type de produit et tous les villageois, des plus jeunes aux plus vieux, sont très qualifiés.

Pour avoir suffisamment de matière première, les villageois plantent des bambous un peu partout. Il fut un temps où ces produits étaient très recherchés sur le marché et les villageois ne pouvaient répondre à la demande.
Mais ces dernières années, en raison des produits en plastique et aluminium, les produits en bambou et rotin ont perdu leur place dans le vie quotidienne des vietnamiens et le village a connu de grosses difficultés.
Mais grâce à l'appui des autorités locales, les villageois ont investi dans des installations et technologies modernes pour améliorer la qualité de leurs produits, qui ont peu à peu retrouvé leur position sur le marché intérieur et sont même exportés.

Bambou-matière première de la vannerie.

Traitement de la matière première.

Certaines familles utilisent une machine à fendre les tiges de bambou.

Séchage des parties de paniers.

Les mains habiles des villageois de Thai My.

A Thai My, jeunes et moins jeunes participent à la vannerie.

Les paniers de Thai My sont des clients taïwanais.

Les habitants ont également créé leurs propres machines à rogner le bambou, et à faire les bords qui aident à réduire le temps de production et les dépenses. En 2007, Lê Vinh Hanh (hameau de My Khanh A) a inventé une machine pour tailler l'écorce de bambou qui peut remplacer 15 personnes.

Pour élargir l'échelle de production, il a également importé 20 machines à fendre les tiges de bambou. Son atelier emploie 25 personnes et fournit des matériaux pour toutes les familles du village.

Dans l'atelier de vannerie Thiên Long (hameau My Khanh A), de Mme Lê Thi Huych, nous avons ressenti la forte reprise de ce métier. Son atelier, de 3 ha, était plein de produits destinés à l'exportation.
Avec 50 employés, son atelier peut produire environ 1.200-1.500 paniers de bambou/jour et exporte environ 30-40 conteneurs chaque année à Taiwan. Huych a confié qu'il y a quelques années, son atelier ne pouvait pas fournir suffisamment de paniers de bambou pour les clients taïwanais en raison de la demande considérable à la saison de récolte des choux.
Pour répondre à la demande, elle a stocké des produits.

Grâce à la politique de soutien financier de Hô Chi Minh-Ville et à l'aide des autorités de la commune de Thai My et de l'Union des femmes de la commune, les habitants continuent à diversifier leurs produits en vue de répondre à la demande des clients dans le pays et à l'étranger et d’apporter une contribution à la préservation de l'artisanat traditionnel.


Source : VNP



samedi 23 avril 2016

Reportage : Sur la piste Hô Chi Minh

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dimanche 17 avril 2016

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jeudi 14 avril 2016

Gastronomie : Risotto vietnamien aux calamars

Ingrédients pour quatre personnes

• 200 g de riz (de préférence asiatique, riz thaï ou Jasmin, du Cambodge)
• 100 gr de calamars moyens
• 50 gr de crevettes
• 100 gr de champignons (facultatif)
• 1/4 d’oignon
• 1 bouquet de coriandre
• 1 botte d’oignons verts
• 1 sachet de germes de soja frais
• 1 citron
• 1 piment rouge
• Poivre noir
• 1 cuillère à soupe de fond de poulet (un petit peu de bouillon cube style Knorr convient)
• Nuoc mam
• Un morceau de gingembre frais (facultatif)
• Sel
• Huile d’olive


Préparation

La recette du risotto vietnamien aux calamars est un plat léger à base de riz que les Vietnamiens préparent lorsque l’estomac a été "sollicité" (lendemains de fête, par exemple). Son nom original est Chao muc, ou Chao theo, qui signifie littéralement "soupe de riz au calamar".

• Nettoyer les calamars en enlevant la partie foncée de la peau, les yeux et le sac (on peut les nettoyer avec du vin blanc pour avoir une bonne odeur et du goût).
• Une fois propre et sec, émincer le calamar en rondelles - couper le cornet perpendiculairement.
• Éplucher et laver les crevettes. Si elles sont de grande taille, les couper en deux dans le sens de la longueur.
• Placer les calamars dans un saladier, avec les crevettes et du nuoc mam, et laissez reposer 15 minutes.
• Laver et couper les champignons en petits morceaux.
• Émincer l’oignon.
• Laver le riz, en veillant à retirer toutes les impuretés. Faire très légèrement griller le riz, à sec, dans un faitout, en faisant attention à surtout ne pas le brûler.
Puis mouiller avec 2 litres d’eau et cuire à feu doux de 15 à 20 minutes jusqu’à obtenir une soupe : il s’agit, en fait, de faire trop cuire le riz pour en faire une sorte de grau ou bouillie. Éliminer les impuretés dans le bouillon avec une cuillère s’il en demeure.
• Pendant la cuisson du riz, sauter les calamars et les crevettes à l’huile d’olive, puis saler, et ajouter le poulet et les champignons, faire revenir pendant 5 minutes à feu doux (si vous préférez, vous pouvez ajouter de l’ oignon frit).
• Une fois le chao prêt, ajoutez le calamar et le mélange de crevettes, et laisser cuire encore 10 minutes. Rectifier.
• Laver les germes de soja, les oignons verts et la coriandre. Coupez l’oignon en petits morceaux.
• Couper le citron en deux, le gingembre en filaments, et le piment, en rondelles.
• Mettre la soupe dans un bol et parer d’oignons verts et de coriandre sur le dessus.
• Dans un plat séparé, mettre les germes de soja, le gingembre et le piment : chacun se servira.

Bon appétit !!

Source : CVN