Ce matin :
"Bên đời hiu quạnh", Trịnh Công Sơn
Entendre soudain une fois ma terre natale d'autrefois
La voix qui m'appelle est bien douce
Le cœur en paix mais pourquoi c'est si triste
Sursauté, je me regarde chanter assis depuis (je ne sais pas quand)
Puis une fois partir avec son baluchon
En croyant pouvoir oublier les amours au pays natal
Le cœur en paix mais pourquoi c'est si triste
En sursaut, je me regarde pleurer assis depuis (je ne sais pas quand)
Quelle route solitaire j'ai prise
Celle qui retourne à mon amour la lumière est agitée
La route est bien silencieuse le cœur n'a plus rien à se rappeler
En sursaut, que des rues inconnues tout autour
Quelle route me mène vers l'ivresse
J'ai rêvé une fois que j'étais mort
Même si les larmes coulent le cœur n'est pas bien triste
En sursaut, j'ai réalisé que la lumière s'est levée
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