Ce matin :
Berceuse
"Ru đời đi nhé", Trịnh Công Sơn. Traduit par Đức Nguyễn et Hạnh Trần.
Quelques fois, des gouttes de pluie
Se métamorphosent en larmes
Versant sur ta condition humaine
En des fleuves de chagrins
Dehors il fait un froid glaçant
Et tes lèvres, un foyer ardent
Berçons-nous
Afin que j’ose t’étaler mes souffrances
Alors que je traîne mes pas lourds d’incertitude
J’entends un silence total tomber
Dans la plus profonde crevasse
Berçons-nous
Avec tes lèvres, si savoureuses
Que les douces sensations
Envahissent notre profond sommeil
Que ton bras fragile soit mon oreiller
Que je puisse embrasser tes frêles épaules.
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