Ce matin :
Le rêve de retour
Giấc mơ hồi hương
J'ai quitté un matin la chère cité
Quand revenait le vent d'automne.
Le cœur du voyageur épris de mélancolie,
Il regarda sa bien-aimée disparaître dans la brume fumante,
S'éloigner les pas hésitants,
Les larmes aux yeux, les larmes d'amertume, adieu !
Plus tard, que je sois perdu aux quatre coins du monde
Je me retournerai vers l'horizon
Pour retrouver les rêves du passé et oublier les jours, les mois qui se fanent
En sanglots, je pense à elle, oh! Hanoi.
Je pense la voir une après-midi de début d'automne,
La silhouette gracieuse des jours passés,
Des pas souples au bord du lac parsemé de saules pleureurs.
Écouter les sons tristes des flûtes, des milliers de cordes de soie,
Jurer avec sincérité
Pour cet amour perdu, qui se fane dans l'obscurité de la nuit illusoire.
Je rêve et je pense à elle, un jour lumineux
Qui se baigne au soleil matinal.
Enivré du parfum de paix partout.
Écouter les voix décidées de vagues d'hommes
Qui sermonnent et disent haut de construire la vie.
La tristesse prend fin dans la longue nuit.
Plus tard, que je sois perdu aux quatre coins du monde,
Je me retournerai vers le pays natal
Épaule contre épaule nous nous accompagnons dans une vie d'amour,
Pour tisser ensemble le rêve de retour.
J'ai quitté un matin la chère cité
Quand revenait le vent d'automne.
Le cœur du voyageur épris de mélancolie,
Il regarda sa bien-aimée disparaître dans la brume fumante,
S'éloigner les pas hésitants,
Les larmes aux yeux, les larmes d'amertume, adieu !
Plus tard, que je sois perdu aux quatre coins du monde
Je me retournerai vers l'horizon
Pour retrouver les rêves du passé et oublier les jours, les mois qui se fanent
En sanglots, je pense à elle, oh! Hanoi.
Je pense la voir une après-midi de début d'automne,
La silhouette gracieuse des jours passés,
Des pas souples au bord du lac parsemé de saules pleureurs.
Écouter les sons tristes des flûtes, des milliers de cordes de soie,
Jurer avec sincérité
Pour cet amour perdu, qui se fane dans l'obscurité de la nuit illusoire.
Je rêve et je pense à elle, un jour lumineux
Qui se baigne au soleil matinal.
Enivré du parfum de paix partout.
Écouter les voix décidées de vagues d'hommes
Qui sermonnent et disent haut de construire la vie.
La tristesse prend fin dans la longue nuit.
Plus tard, que je sois perdu aux quatre coins du monde,
Je me retournerai vers le pays natal
Épaule contre épaule nous nous accompagnons dans une vie d'amour,
Pour tisser ensemble le rêve de retour.
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