dimanche 29 septembre 2013

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Bonjour TLM,

Ce matin :








vendredi 27 septembre 2013

Dà Lat, un paradis de brouillard

La ville de Dà Lat, située à 1.500 mètres d'altitude, possède un climat tempéré. Au petit matin, le brouillard recouvre la ville.

 Vue des sommets de montagnes, le brouillard et les nuages font de la ville "un paradis de brouillard".

 On trouve le brouillard partout : au lac de Xuân Huong.

 Sur le gazon.

 Sur le toit d'une pagode.

 Dans les jardins de fleurs.

 Vue de haut, la montagne, le lac et le brouillard se fondent.

 Alors que les premiers rayons du soleil apparaissent,

la ville reste dans le brouillard.

Source : CPV




mercredi 25 septembre 2013

Gastronomie : Poisson soufflé

Ce plat est consommé régulièrement au Vietnam. Facile à préparer, sa saveur est inoubliable. Le choix du poisson est fonction du goût de chacun : carpeau, jeune mérou ou platax…



Ingrédients :

- Un poisson de 1 kg
- Concombres, houttuynia cordata (herbe aromatique), piment, ananas vert, enhydre, fenouil, carambole verte.
- Huile végétale
- Pour la sauce : nuoc mam assaisonné de jus de citron vert, de piment, d’ail ou de sauce piquante.

Préparation :

Vider le poisson, retirer les branchies et faire macérer dans de l’eau mélangée avec du sel pendant un quart d’heure. Laisser égoutter. Strier ensuite jusqu’à l’arête dorsale les flancs du poisson. Lorsque l’huile est bien chaude, placer le poisson dans la poêle - à feu doux pour ne pas précipiter la cuisson. Une fois cuit (belle couleur jaune et peau à l’aspect croustillant), le disposer sur une assiette que l’on arrange avec fruits et légumes.

Ne pas oublier de préparer du nuoc mam assaisonné selon le goût des convives. Le poisson soufflé est servi chaud accompagné de riz, de bouillon et d’aubergines salées.


Bon appétit !!




lundi 23 septembre 2013

La fête des enfants vietnamiens, Têt Trung Thu

La fête de la mi-automne



Cette année, le Têt Trung Thu, la Fête des enfants, a eu lieu le 19 septembre. Il s'agit du jour "officiel" mais l'ambiance dure une semaine...
A l’origine, la mi-automne ou Trung thu, en vietnamien, était une fête agricole et astrologique. Elle est célébrée depuis longtemps, dans plusieurs pays rizicoles d’Asie comme la Chine, la Corée du Sud, le Japon et le Vietnam.


Selon les Vietnamiens anciens, l’automne est la saison où prédomine le principe femelle de la lune, par opposition au printemps où c’est le soleil, principe mâle, qui domine. Pendant cette saison, le ciel est clair et l’air est pur. Les paysans, conformément à leurs croyances, examinent alors la lune pour savoir si la moisson sera bonne ou non :
- Une lune brillante indique une bonne récolte.
- Si son éclat est jaune, les vers donneront beaucoup de soie ; la paix et le bonheur profiteront à tous.
- Si l’éclat de la lune est vert, c’est alors un signe de famine.
- Mais si des traînées noires dissimulent en partie la lune, alors c’est une annonce de guerre.


De nos jours, la Fête de la mi-automne est devenue essentiellement la fête des enfants, mais les adultes participent aussi aux festivités.
A l’approche de la fête, toute la famille prépare des gâteaux et des jouets. Les femmes montrent leur savoir-faire en préparant des Banh deo (pain de riz gluant farcis en forme de disque lunaire) et des Banh nuong (gâteaux cuits au four diversement farcis).
Les filles sculptent des animaux à partir de fruits comme les caramboles, les pamplemousses, les kakis, les bananes...
Les hommes fabriquent des jouets ingénieux comme des Den keo quan (lanterne aux ombres chinois), des Den ong sao (lanterne en forme d’étoile), et des masques en formes d’animaux.


Le 15e soir du huitième mois lunaire, les enfants masqués portent des lanternes et des jouets font le tour du Mam co trung thu (table des victuailles), placé au milieu de la cours de la maison. Ils chantent et font une parade de lanternes et participent aux danses à la licorne aux sons des tambourins. Les adultes, eux, mangent des gâteaux Banh trung thu en buvant du thé.
Dans les grandes villes du Vietnam, le Trung thu est l’occasion pour organiser des foires de jouets, des spectacles artistiques pour les enfants et des activités de charité en faveur des enfants des familles en difficulté.



La légende

Les lettrés et les poètes cisèlent leurs vers pour sa glorification. La jeunesse veille jusqu'à l'aube, échangeant des chansons d'amour pleines d'esprit pour attirer l'attention du Vieillard (Nguyêt Lao) et de la Dame de la Lune (Bà Nguyêt) qui passent leur temps à nouer les fils de soie rouge de l'hyménée.

Quant à ceux qui sont déjà mariés, ils boivent du thé et mangent des gâteaux en forme de pleine lune, en contemplant l'image de Thang Cuôi, le gardien de buffles au pied du banian millénaire, encadré dans le disque brillant de "l'astre du soir".
Car tous espèrent pouvoir un jour s'élever vers ce territoire céleste, ou fut bâti le Palais de la Grande Froideur (Cung Quang-Hàn) réservé à la Princesse Hang-Nga, beauté immortalisée grâce à la Déesse Tây-Vuong-Mâu.

Ce palais fut visité jadis par l'Empereur Duong- Minh-Hoàng qui s'y rendit sur un pont lumineux jeté à son intention par un prêtre taoïste du nom de La-Công-Viên.
L'Empereur fut accueilli sur la Lune par des fées d'une beauté incomparable, qui dansèrent au son d'une musique voluptueuse, dans un décor enchanteur.

Pour perpétuer le souvenir, à chaque mi-automne ont lieu des processions de lanternes et de flambeaux, ainsi que des danses de licorne qui font la joie des enfants.



Source : Cap Vietnam



dimanche 22 septembre 2013

Chanson : Cho một người vừa nằm xuống

Bonjour TLM,

Ce matin,




Pour celui qui vient de partir

"Cho một người vừa nằm xuống", Trịnh Công Sơn

Tu t'es reposé après être une fois venu ici,
Après t'être amusé dans cette vie,
Après avoir volé haut dans le ciel.
Puis tu es parti sans amis, sans personne,
Sans personne jour après jour, sans personne pour toujours
Pour te bercer dans ton sommeil.
A la saison des pluies, il n'y a que des oiseaux dans ce cimetière.

Tu t'es reposé pour que la haine rentre dans l'oubli,
On te raccompagne un jour de tristesse.
La terre t'embrasse et t'emporte à tes racines.
Depuis ce jour, tu n'es plus de ce vaste monde :
Comme les ailes d'oiseaux qui quittent la forêt,
Comme le cœur qui abandonne l'amour,
Je t'ai vu une fois venir ici,
Mais cette douleur, je ne peux en parler qu'au néant.

Sais-tu que tes amis sont encore là ?
Te souviens-tu de ton amoureuse ?
La prairie est toujours verte, le soleil se lève toujours,
Quand ton ombre ressemble aux ailes d'oiseaux submergées.

Quel coin de ciel as-tu survolé ?
Il ne reste ici que des matins infinis ?
Ton amoureuse sera oubliée, tes amis seront loin,
Des années, des mois, même les traces de pas finiront par être recouvertes de poussière.

Tu t'es reposé comme pour un long voyage,
L'enfant a ainsi retrouvé sa maison,
La terre déserte referme ses rendez-vous.
Les gens de la ville ont une fois parlé de ton nom,
Que de matins de feux et de balles
Que de sang et d'os par vagues
Pourvu que celui qui vient de partir
Puisse voir l'ombre du paradis au fond du ciel infini.



mercredi 18 septembre 2013

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Bonjour TLM,

Ce matin :






lundi 16 septembre 2013

Nature : La beauté du lac Noong

Situé dans le massif montagneux de Tây Côn Linh, commune de Phu Linh, district de Vi Xuyên, à 15km de Hà Giang, le Lac Noong aux eaux émeraudes entoure la montagne homonyme. Ici, les touristes peuvent non seulement profiter de la beauté de la nature mais aussi en apprendre davantage sur les coutumes et la vie quotidienne des ethnies Tày, H’mông et Dao.

De Hà Giang, après avoir traversé forêts, rizières en terrasses et des hameaux Tày, H’mông et Dao, les touristes arrivent au lac Noong. Ce lac naturel, de plus de 20 ha à la saison sèche et de 80 ha à la saison des pluies, est entouré de montagnes et de forêts de plus de 700 ha. Sous le soleil ou les nuits de pleine lune, sa surface scintille. D'où son surnom d'"oeil de la forêt".

 Enfants jouant sur le lac à la saison sèche. 

 A la recherche de crabes et d’escargots.

 A la saison des pluies, les touristes peuvent visiter le lac en pirogue.

 La vie simple des groupes ethniques vivant près du lac.

 Les habitants élèvent canards et oies à la saison sèche.

Pêche sur le lac.

 Un hameau paisible à proximité du lac.

Beaucoup de familles y élèvent des poissons. 

Pisciculture dans le lac. 

 La beauté du lac Noong avec ses vieux arbres se reflétant dans l’eau. 

 Partage des fruits du travail après une journée sur le lac.

Scène romantique.


A la saison des pluies, l'eau monte. Les visiteurs peuvent se promener à bord d'une pirogue. A la saison sèche, quand le niveau d'eau est au plus bas, les habitants y élèvent canards et oies.
Leur vie est très simple. Chaque jour, ils attrapent des poissons, et l’écho de leurs rires résonne un peu partout.


Source : VNP



samedi 14 septembre 2013

Gastronomie : Testez la soupe de serpent !

Je pense que le plus compliqué, c'est de trouver le serpent !!!  


Ingrédients : (pour 2 personnes)

- 150 g de viande de serpent
- 1 œuf
- 50 g de champignons séchés
- 30 g de champignons blancs
- 100 g de pâtes séchées
- 1 cuillère à soupe de sauce de soja
- 1 cuillère à soupe d’alcool de riz
- 1 cuillère à café huile de sésame
- écorce d’orange séchée
- sel, sucre, poivre, gingembre, ciboulette


Préparation et conseils : 

Voilà une recette placée sous le signe du serpent, évidemment.
Pour celles et ceux qui cherchent d’autres saveurs et qui n’ont pas trop de préjugés, voici comment préparer une bonne soupe :
- Tout d’abord nettoyez le serpent tué (c’est plus raisonnable ainsi)
- Mettez-le dans l’eau bouillante, puis ajoutez la ciboulette, le gingembre et l’alcool de riz et chauffer pendant une demi-heure pour rendre la viande plus tendre.
- Prenez la viande de serpent et la déchirer en lambeaux. La faire cuire seule à la vapeur pendant 2 heures.
- Mettez les lambeaux de viande, les assaisonnements déjà utilisés, les champignons ainsi que les pâtes séchées dans une marmite. Chauffer jusqu'à ébullition, puis retirer l’écume.
- Ajouter l’écorce d’orange, le sel et le poivre et les cuillères d’huile de sésame et de sauce de soja et servir chaud.

Bon appétit !!



jeudi 12 septembre 2013

Culture : Bétel et noix d’arec

Dans la vie spirituelle du peuple vietnamien, la chique de bétel est non seulement une habitude et une coutume, mais aussi un élément culturel traditionnel indispensable, notamment lors des cérémonies de fiançailles et de mariage.

Une vieille coutume

Selon la légende, la coutume de mâcher du bétel existe depuis le règne des rois Hùng. Elle est associée à la "Légende du bétel et de la noix d’arec", qui conte la fidélité d'une femme pour son mari et l'amour entre deux frères qui ont traversé tant de montagnes et ruisseaux pour se retrouver et se transformer en un aréquier, un bétel et un bloc de pierre. Le bétel et la noix d'arec sont utilisés pour entamer les conversations et aident les gens à être plus ouverts. Ils servent d’offrandes lors des cérémonies importantes, telles que fiançailles et mariages, funérailles. Ils sont un symbole de l'amour, de la fidélité, de la fraternité, de la famille et du bonheur.

La chique de bétel était autrefois une pratique de toutes les couches sociales, de la population à la cour royale et elle est devenue une belle caractéristique de la culture traditionnelle. On la trouve pas seulement chez l’ethnie majoritaire Viêt (Kinh), mais aussi chez d'autres groupes ethniques comme les Tày, Nùng, Dzao, Thai, Muong, San Diu dans les régions montagneuses du Nord, les Édé, Bru, et Cham le long de la cordillère de Truong Son, au Tây Nguyên (Hauts Plateaux du Centre), et chez le Khmers au Sud. Les groupes ethniques ont leur manière particulière de chiquer le bétel. Les Muong, Thai et Édé utilisent le bétel pour accueillir leurs visiteurs, les Tày et Nùng lors de la cérémonie de "lier le fil autour des poignets de la jeune mariée et du marié".

Une chique de bétel se compose de quatre matières: un morceau de noix d'arec (au goût sucré), une feuille de bétel (goût piquant), un morceau d'écorce d’Artocarpus du Tonkin (goût amer) et un peu de pâte de chaux (goût chaud). Tous sont mâchés ensemble, offrant un goût acidulé délicieux, avec le jus rouge et de fraîcheur. Le grand arbre d'arec symbolise le ciel (Yang). La chaux symbolise la terre (Yin). La coutume de mâcher du bétel est populaire dans toute l'Asie du Sud-Est.

Bétel en forme d’ailes de phénix.

 Feuille de bétel, écorce et pot à chaux.

Un service à bétel.

Le bétel et la noix d’arec jouent un rôle important dans la vie culturelle vietnamienne.

Les aréquiers sont cultivés dans de nombreuses régions du pays.

Le bétel et la noix d’arec sont indispensable lors des fiançailles et mariages des Vietnamiens.

L’artisane Vu Thi Tuyêt Lan représentant la technique de préparation des bétels en forme d’ailes de phénix.


Parfum et beauté éternels

La coutume de mâcher du bétel au Vietnam existe depuis longtemps, mais se reflète principalement dans les "kits" de bétel sous les règnes des dynasties Ly (1010 - 1225) et Trân (1225 - 1400).
Ils comprennent un couteau pour fendre les noix d'arec et le façonnage des feuilles de bétel, un pot à chaux, un tube de pâte de chaux, un petit bâton pour mettre la chaux sur la feuille de bétel, tous de formes très diverses. Il y a aussi des bacs, des cuillères, des paniers, des boîtes, des sacs et des mouchoirs pour contenir les bétel, les noix d'arec et de petits articles.
Pour les personnes âgées aux dents faibles, il y a une spatule et un mortier à piler le bétel et la noix d'arec. Dans le kit de bétel, le pot à chaux est un élément indispensable. Dans le passé, il était respecté comme un génie et était appelé le "Génie de la chaux".

Un plateau de bétel finement gravé et incrusté.

Un air de quan ho à Bac Ninh invitant à chiquer du bétel.

L’image de l’aréquier est toujours associée à la campagne et à la culture du Vietnam.

Le bétel et des noix d'arec ne servent pas seulement comme offrandes lors des cérémonies traditionnelles, mais aussi sont devenus une image typique de la culture vietnamienne. Elles apparaissent généralement dans les chansons populaires et festivals. Dans le Nord, le village de Cao Nhân, commune de Cao Nhân, district de Thuy Nguyên, à Hai Phong, est connu comme le village de la noix d'arec.
À la période de la récolte, des grappes de noix d'arec sont empilées et le village est traversé par de nombreux camions. Dans la région de Doài du village de Phu Lê, commune de Lâm Kiêm, district de Thach Thât, à Hanoï, les pots de bétel et de noix d'arec peuvent être vus partout, des maisons aux maisons communales et dans les champs.
Pendant le Festival de Lim (festival du quan ho, chant alterné entre garçons et filles) à Bac Ninh, qui a lieu immédiatement après le Nouvel An lunaire, les filles de la région du Kinh Bac portant un fanchon, une robe à quatre pans et un cache-sein rose ouvrent leurs mouchoirs de bétel pour inviter les hommes, avec du bétel et des noix d'arec en forme d’ailes de phénix...

Dans le Sud, 18 villages de jardins de bétel ont été établis au début du 17e siècle, au moment du défrichement des terres pour construire les villages. Ils se spécialisent dans la culture du bétel pour les six provinces du Sud. Le marché du bétel et de la noix d'arec de la rue Lê Quang Sung, dans le 6e arrondissement de Hô Chi Minh-Ville, est une caractéristique culturelle unique qui embellit la vie spirituelle du peuple vietnamien.

Source : VNP




mardi 10 septembre 2013

Chanson : Cát Bụi

Bonjour TLM,

Ce matin :



Sable et poussière

"Cát bụi", Trịnh Công Sơn 

Quel grain de poussière se réincarnera en mon corps
Pour que cette carcasse s’épanouisse un jour ?
Ô merveilleux sable et poussière,
Le soleil illumine une vie baladeuse.

Quel grain de poussière se réincarnera en mon corps
Pour que je redevienne sable et poussière un jour ?
Ô sable et poussière exténués,
Quel bruit peut-il rythmer sans arrêt ?

Tant d’années en cet humain sort,
Puis un soir soudain les cheveux blanchissent comme de la chaux,
Les feuilles fanées de là-haut vont toutes tomber
Et en un seul jour y viendront mourir cent années.

Quel soleil pourra éclairer mon cœur
Afin que l’amour le broie en petits cailloux ?
Veuillez me laisser baisser ma face malheureuse
Pour attendre chaque jour quelque nouvelle heureuse.

Dans quelle forêt les feuilles, quittant leurs arbres,
Écouteront l’invitation s’élever du fond de l’abysse ?
Ô sable et poussière, ce pauvre destin,
Quelle tache d’encre pourra l’effacer enfin ?


Traduction : Dông Phong



vendredi 6 septembre 2013

Vidéo que j'aime

Bonjour TLM,

Ce matin :






mercredi 4 septembre 2013

Nature : Les couleurs de Phô Cao

Je suis passé par Phô Cao lors de journées nuageuses. Le brouillard étaient si épais que l’on avait l’impression de pouvoir facilement le couper en morceaux comme le gâteaux mèn men de maïs des H’mông du marché local.
Je suis aussi venu à Phô Cao une journée ensoleillée, mon ami Tien m’a emmené au marché, je me suis perdu dans le dédale des boutiques de brocarts thô câm. Mais cette fois, Phô Cao était couvert d’un manteau de fleurs de pêcher et de pruniers.

Phô Cao est une commune du district de Dông Van, province de Hà Giang. Phô Cao compte environ 5.000 habitants, pour la plupart des H’mông. Son marché se tient tous les 6 jours.
Les maisons en torchis sont entourées de haies de pierres et les H’mông conservent toujours leurs costumes et leurs activités traditionnelles. Phô Cao est une adresse incontournable pour tous ceux visitant le Parc géologique de Dông Van.

 Les fleurs blanches de pruniers et les fleurs jaunes des choux. 

 Rendez-vous.

 Ruelle à Phô Cao.

Phô Cao est connu dans le Haut Plateau de Dông Van pour ses clôtures de pierres.

 La raison pour laquelle les habitants locaux appellent leur commune Phô Cao est l’architecture en forme d’échiquier, les maisons côte-à-côte et séparées par des murets de pierres.

 Printemps sur les tuiles yin-yang teintées par le temps.

 Récolte des choux dans le jardin auprès de la maison.

Phô Cao conserve encore des maisons aux murs en torchis construites dans le style traditionnel de l’ethnie H’mông.

 Sur le chemin de l'école.

 Printemps sous le porche.

 Phô Cao, un lieu paisible.

Phô Cao séduit aussi les visiteurs par l’hospitalité de ses habitants.

Le rose des fleurs de pêcher, le blanc immaculé des fleurs de prunier, le gris de la pierre, le vert des mousses des murs en torchis et le jaune des fleurs de choux peignent un tableau charmant. Phô Cao semble toujours nouveau aux yeux du voyageur.
Ceux qui sont déjà passés par là ont toujours Phô Cao dans un coin de leur mémoire, qui resurgit lorsque l’on est fatigué ou que l’on veut échapper au maëlstrom de la ville.

Source VNP - Tât Son & Thông Thiên