jeudi 31 mai 2012

Vidéo que j'aime

Bonjour TLM,

Ce matin :






mardi 29 mai 2012

Reportage photo : Danse de vies sur la rivière de Nhu Y

Bonjour TLM,

Ce matin :
















mercredi 23 mai 2012

Gastronomie : Les soupes au Vietnam

Les soupes au Vietnam... tout un art culinaire !

Même si le riz est apprécié de tous les vietnamiens, force est de constater qu'ils adorent également les soupes. Chaque région du Vietnam possède leurs spécialités culinaires toutes plus appétissantes les unes que les autres.

La plus célèbre et populaire des soupes est le phở, à base de vermicelles de riz, qui peut se concocter avec différentes variantes. En effet, on peut le faire avec de fines lamelles de boeuf ou en compagnie de bonnes boulettes de viande. En accompagnement, on peut y mettre un zeste de citron afin de relever le goût. Cette soupe peut se déguster dans une grande majorité des restaurants asiatiques.

Le phở


Si vous préférez les soupes plus épicées, il y a le bún bò Huế, une spécialité culinaire à base de nouilles de riz et au boeuf avec une sauce piquante à souhaits. Personnellement, celle-là me fait tout le temps pleurer tellement elle est épicée... mais qu'est-ce que c'est bon !

Bún bò Huế


Si vous n'aimez pas le bœuf, pas de souci ! Il y a toujours un délicieux bún riêu pour vous contenter. Cette délicieuse soupe est au crabe et réveillera vos papilles. 

Bún riêu


Il y a aussi le hủ tiếu ou soupe saïgonnaise qui se cuisine de plusieurs façons. On peut l'accommoder à toutes les sauces. Elle peut se déguster avec de la viande de poulet ou même avec du canard laqué... C'est selon vos envies et vos goûts !

 Le hủ tiếu 


Si je devais vous faire un article sur toutes les soupes existantes dans la cuisine vietnamienne, je serais encore là demain...
En effet, au-delà de cette grande variété, il y a aussi cet aspect convivial qui réunit toute la famille autour de la soupe. Certes, ce n'est pas très consistant et c'est pour cette raison qu'au Vietnam, on mange à n'importe quelle heure.

Bon appétit !

Source: Cap-vietnam



lundi 21 mai 2012

Vidéo que j'aime

Bonjour TLM,

Ce matin :


  



dimanche 20 mai 2012

Message de Jean-Pierre

A huit heures de route de Hanoï, vit une petite fille victime de l'agent orange.

Truc, de l'ethnie Kinh, habite à Thon Mo, dans le district de Bao Thang, Province de Lao Cai : Truc








Faire renaître l’espoir et le bonheur dans les cœurs d’une famille, donner une nouvelle vie à un enfant, merci encore pour tout ce qui est réalisé malgré les "difficultés" rencontrées sur place.





jeudi 17 mai 2012

Nature : Hanoï lorsque refleurissent les lagerstromias

Mai est le mois de la floraison des lagerstromias à Hanoï.
Avec le rouge des fleurs de flamboyants, le violet des lagerstromias nous rappelle des souvenirs d’enfance : des vers romantiques lus pour la bien-aimée, des plaisanteries entre amis à l’ombre des arbres.




Les lagerstromias n’existent pas qu’à Hanoï, mais ils occupent dans le cœur des Hanoïens une place très particulière.
Les Hanoïens ne se laissent pas de voir refleurir chaque année les lagerstromias.
Dans les ruelles du vieux quartier, le long de la route poussiéreuse sur la digue longeant le fleuve Rouge, les lagerstromias sont ommiprésents, isolés ou en groupes. 
Les midis étouffants d’été, les étudiants aiment lire à l’ombre des lagerstromias dans la cour de l’internat.




L’après-midi, les gens sortant du bureau semblent ralentir leurs pas sous les rangées de lagerstromias pour contempler le violet suave de leurs fleurs et oublier la fatigue d’une journée de travail.
A floraison des lagerstromias contribue à donner un charme unique à Hanoï, capitale millénaire.



Source : VNP
Texte : Trân Tri Công – Photos : An Thành Dat



mardi 15 mai 2012

Reportage photo : Expo photos sur le plateau calcaire de Dông Van

"Se souvenir de Dong Van" a été le nom d'une exposition de photos sur le plateau calcaire de Dong Van, le premier parc géologique du Vietnam et le deuxième d'Asie du Sud-Est, récemment organisée sur le vieux marché de Dong Van, province de Ha Giang.

L'exposition a présenté des photos des paysages et groupes ethniques de ce haut plateau. A travers cette exposition, les photographes ont voulu valoriser l’identité culturelle de ces minorités ethniques, afin qu’elles aient conscience de la nécessité de la préserver.

En outre, l'exposition se composait de nombreuses activités telles que danse du Khen (sorte d’orgue à bouche), dégustation d’aliments traditionnels, photos gratuites...

Cette exposition a été organisée par le Conseil d'administration du plateau calcaire de Dong Van en coordination avec le Comité populaire du district de Dong Van et un groupe de passionnés de photo.


Démonstration de Khen.


Des membres de minorités ethniques contemplent la beauté de Sung La.


   Tous les membres de la famille de Giang Thi Mai, 12 ans, sont très
 heureux en voyant sa photo lors de l'exposition.


Une bénévole de l'exposition est à la recherche des personnages 
sur les photos, pour leur offrir un exemplaire.


Ho Thi Xay, 76 ans, de la commune de Thaï Phin Tung est très heureuse 
de se voir en photo.


Heureux de se revoir.


Manger ensemble.


Dégustation du Men Men, un plat traditionnel des Mongs de Dong Van.


Agrandissement de photos pour les offrir aux gens de Dong Van.


Le bonheur d’avoir été photographié.


L'exposition a été l’occasion pour ces montagnards de se rencontrer.


Source VNP.





dimanche 13 mai 2012

Chanson : Dư âm

Bonjour TLM,

Ce matin :



Echo

Dư âm

Cette nuit je rêvais de ta silhouette jouant de la cithare,
Egrenant des notes aussi douces que la soie.
L'univers entier s'est tu, bercé par ta musique.
Ta chevelure voletait sous la brise au clair de lune,
Tes yeux au loin perdus. A qui penses-tu ?

J'aime ta voix douce comme une promesse d'un bonheur tant rêvé.
Je suis comme une tour déserte,
Et toi, le clair de lune qui inspire tant de poésie.
J'ai envie de te dire mille tendresses,
Mais mon cœur transi hésite à les murmurer.

J'ai voulu te retrouver depuis des milliers de vies antérieures,
Tes souvenirs me hantent tellement
Que voilà mille fois déjà mes cheveux blanchissent.
Je me languis de toi, car je suis touché par l'amour que tu m'inspires.
Dans quelle contrée ta mélodie va-t-elle m'amener ?

La résonance de tes chants réveille en moi tant de nostalgie.
Grisé par le rêve d'hier, où tes lèvres frémissaient,
Je voudrais être un nuage et me laisser guider par le vent.
Pour venir à tes côtés dans je ne sais quelle contrée de rêve.






jeudi 10 mai 2012

Gastronomie : Porc au caramel aux œufs - Thịt kho trứng

Ingrédients :

- 1,2 kg de poitrine de porc maigre
- 6 œufs
- 5 cuillères à soupe de sucre en poudre roux ou blanc
- Deux ou trois tiges d'oignon vert
- Nuoc mam
- Un petit piment rouge
- Graines de poivre noir
- Jus de coco congelé x4



Préparation :

Acheter de la poitrine de porc maigre, la couper en gros morceaux genre 4 ou 5 cm de long, 3 ou 4 de large car ils vont réduire vu le temps de cuisson... Par exemple 1 kg.
Faire cuire 6 œufs durs.

Dans une grande casserole, genre pot au feu ou bœuf bourguignon, faire un caramel avec 4 ou 5 cuillères à soupe de sucre en poudre roux ou blanc (sinon mouiller légèrement 5 ou 6 morceaux de sucre)

Dès que le caramel se forme, ne pas le laisser noircir, lancer tous vos morceaux de porc et mélanger.

Noyer de suite avec de l'eau votre casserole en mettant le jus de coco congelé, recouvrir carrément de façon a ne plus voir la viande jusqu'a deux centimètres par dessus.

Faire bien bouillir et enlever avec une cuillère l'écume pour nettoyer le bouillon.

Rajouter deux ou trois tiges d'oignon vert.

Facultatif mais apportera une petite note épicée, lancer un petit piment rouge frais dans le bouillon et quelques graines de poivre noir.
Laisser bouillir mais en réduisant le feu.

Puis rajouter les œufs durs sans la coquille, pour qu'ils "surcuisent" en même temps que la viande...ils deviendront marron.

Rajouter du Nuoc Mam : environ un demi-verre.

Laissez au moins la cuisson 2 heures! Au besoin, rajoutez de l'eau pour que le niveau, à la fin de la cuisson, soit juste au niveau de la viande.

Le secret : plus cela cuit, meilleur c'est !
Vous pouvez laisser après vos deux heures refroidir, et refaire chauffer le lendemain et surlendemain!

Le sucre, le Nuoc mam: quantités à ajuster selon vos goûts (pour le Nuoc mam, goutez le jus après une heure de cuisson)

Lorsque vous mangerez ce plat avec du riz blanc, la viande doit fondre dans la bouche ainsi que le gras de la viande.

Ce plat s'accompagne très bien avec des endives fraiches en salade.

Source : Cap-vietnam




samedi 5 mai 2012

Message de Jean-Pierre

Des nouvelles de Chi : Visite de Chi






jeudi 3 mai 2012

Culture : Áo dài, un symbole de la culture vietnamienne

On n’exaltera jamais assez le Áo dài, cette tunique traditionnelle dont les Vietnamiens, et surtout les Vietnamiennes, sont si fiers.
Savez-vous que ce vêtement est apparu pour la première fois il y a plusieurs milliers d’années déjà ?
Allons aujourd’hui à la redécouverte de cet habit en soie douce et colorée qui n’en finit pas de nous séduire.


La première image du Áo dài aurait été trouvée sur la face gravée d’un tambour de bronze et sur des objets de Dong Son, cette culture protohistorique remontant au premier millénaire avant Jésus Christ. Mais… restons dans l’histoire récente.
Au début du 20è siècle, les citadines vietnamiennes portaient des tuniques à cinq pans : deux cousus entre eux à l’avant, deux à l’arrière, et un cinquième à droite, derrière les deux pans avant. 
Les quatre pans principaux symbolisaient les quatre parents proches de la femme : ses propres parents et ceux de son mari.
Le cinquième et dernier pan, c’est elle-même. Ce Áo dài ancien comprenait également cinq boutons, équivalant aux cinq principales qualités éthiques qu’un homme, ou une femme, doit avoir, selon Confucius, à savoir : humanité, politesse, fidélité, intelligence et crédibilité.
Les bras et la partie supérieure du vêtement collaient au corps alors que la partie inférieure s’élargissait, sans qu’il n’y ait de pince au niveau de la taille.
La bande de bordure latérale mesurait en moyenne 80 cm et le col était de 2 à 3 cm. Le áo dài, tel qu’on le voit aujourd’hui, a subi maintes modifications depuis, comme l’explique la peintre Đoàn Thị Tình : “Le Áo dài des Vietnamiennes a pris sa forme actuelle entre 1950 et 1975”
Depuis 1975, il a fait l’objet de nombreuses variations. En 1980, l’Etat a commencé à s’intéresser à cet habit et c’est à ce moment-là qu’on a eu les premiers défilés de Áo dài.
Depuis lors, le Áo dài des Vietnamiennes a écumé toutes les scènes du monde.





A la différence du kimono japonais ou du hanbok sud-coréen, le Áo dài vietnamien allie tradition et modernité.
Son utilisation ne connaît pas de limite d’endroit ou d’occasion. Les femmes peuvent le porter aussi bien au bureau ou à l’école que lors de sorties ou de réceptions solennelles.
Il se porte avec un pantalon en soie ou en tissu doux et s’accommode aussi bien d’une paire de babouches, de sabots, ou de simples chaussures.
La partie supérieure colle toujours au corps mais les deux pans descendent en toute liberté et en douceur sur les jambes larges du pantalon.
Un hymne à la féminité, nous dit le professeur Ngô Đức Thịnh, vice-président de l’association des arts folkloriques d’Asie : “Le Áo dài est discret tout en mettant en relief les magnifiques courbes du corps féminin. Les Vietnamiennes doivent en partie leur charme à cet habit original.”
Il a suivi les femmes vietnamiennes partout dans le monde, comme une partie de la culture et de l’âme vietnamiennes.










mardi 1 mai 2012

Reportage photo : La baie d'Halong, il y a cent ans

Après Sapa, la baie d’ Halong :